mercredi 11 janvier 2012

Un "zoo humain" en Inde


Une tribu primitive indienne serait victime d'actes d'humiliation.
Une danse primitive en échange d’un peu de nourriture. La tribu des Jarawa subit les humiliations des touristes occidentaux. C’est ce que montre une vidéo diffusée sur le site du journal britannique The Observer, et réalisée visiblement par un vacancier. Mais non datée.
Sur ces images, on y voit ceux qui seraient parmi les premiers hommes à avoir migré d'Afrique en Asie et qui ont vécu jusqu’aux années 90 en paix dans les îles Andaman, en Inde, accepter de danser généralement nu pour amuser les touristes. De quoi ravir les vacanciers qui n’attendent qu’une chose : découvrir la tribu qui vivait jusque-là reclus.
240 euros en échange d’une danse tribale
Enfants et femmes se prêtent au jeu, poussés par les demandes d’officiers de police qui intiment l'ordre en leur disant "danse". Mais cela ne se fait pas naturellement : au début de la vidéo, on entend l’un d’eux rappeler aux membres du groupe tribal "je vous ai donné la nourriture". C’est alors que certains se mettent à effectuer quelques pas et poussent la chansonnette, sous les applaudissements des touristes.
D’après le journal, les fonctionnaires ne servent pas simplement de guides, ils reçoivent également des pots de vins pour ravir les voyageurs. Et ce, alors qu’ils se doivent - en théorie - de protéger les tribus du monde extérieur.
D’après un guide qu’a rencontré The Observer, pour faire pénétrer les touristes dans la réserve des Jarawa, les officiers recevraient en moyenne 200 livres sterling, soit environ 240 euros. Pire : ce serait les officiers qui auraient appris à la tribu à mendier.
Des bananes sont jetées pour les attirer
A en croire le journal britannique, qui dit être allé voir de ses propres yeux ce qu’il en est, des centaines de voitures touristiques arpentent la réserve chaque jour. Et ce alors que huit convois seraient autorisés officiellement à se rendre au sein de la réserve.
Seul objectif des voyageurs : apercevoir des Jarawa. Et visiblement les panneaux à l’entrée interdisant les photos, les films ou le moindre contact avec la tribu n’empêchent rien. The Observer l’affirme : "quand les portes s’ouvrent, les flashs des appareils photo commencent à crépiter et les touristes lancent des bananes et des biscuits sur la route pour tenter d’attirer les membres de la tribu". Comme au zoo.
"On ne peut pas les traiter comme des bêtes"
Depuis la diffusion de cette vidéo, les critiques fusent. Le ministre indien des Affaires tribales, V. Kishore Chandra Deo, a ordonné mercredi l'ouverture d'une enquête. "C'est déplorable. On ne peut pas traiter des êtres humains comme des bêtes de foire pour se faire de l'argent. Je désapprouve totalement ce genre de tourisme et nous allons l'interdire".
"Il est assez clair que l'attitude de certaines personnes envers les populations tribales n'a pas changé d'un iota. Les Jarawa ne sont pas des animaux de cirque que l'on fait danser sur commande", a commenté Stephen Corry, le directeur de Survival International, qui milite pour le droit des tribus dans le monde.
Reste que des doutes sont possibles sur la datation de cette vidéo. "Avant le tsunami de 2004, les gens auraient pu les forcer à danser (...). Depuis le tsunami, une politique de grande autonomie avec un minimum d'intervention a été mise en place. Les choses se sont un peu amélioré, il y a un grand soin (apporté à la sécurité) maintenant", a ainsi assuré un anthropologue indien, A. Justin, qui travaille sur les îles Andaman.
La police des îles Andaman s’est défendu assurant que c'était un "vieil" enregistrement. "La vidéo semble vieille de six ou sept ans, lorsque les Jarawa ne s'habillaient pas. Aujourd'hui, ils s'habillent en public", a relevé le directeur général de la police, Samsher Deol. Quoi qu’il en soit, la police a ouvert une enquête pour connaître l'identité du vidéaste et de ceux qui ont payé et reçu le pot-de-vin.

Europe 1

Avis important aux juristes !!!! Appel d’offre.


Avis important aux juristes !!!! Appel d’offre.
Je viens de constater que mes droits de reproduction et de représentation de l’un de mes œuvres, n’ont pas étaient respecté. Un film commercialisé actuellement sur le marché, utilise exactement comme sujet, l’une de mes théories que j’ai édité sous forme de roman de sciences fiction, ceci sans que je ne sois consulté, ou donné mon accord. Mon roman comporte seulement un numéro ISBN, prouvant sa date d’enregistrement, qui est antérieure à la production du film. Ce roman a été édité sur « TheBookEdition » et le premier exemplaire a été vendu en décembre 2009. Le film lui a était tourné en 2010. Suis-je en droit de demander mes droits d’auteur à la société qui a produit ce film ?  Si oui j’engage celui ou celle qui voudrait s’occuper de cette affaire moyennant une énumération au pourcentage prélevée sur le remboursement de mes droits d’auteur ainsi que sur les dommages et intérêts causés par ces préjudices. Me contacter sur mon adresse mail : Phenix2.djo@gmail.com  
                                         M.Hermassi

Ils construisent des igloos insolites comme abri contre le froid


Pour le concours de design de Winnipeg 2012, le cabinet tchèque d'architecture Mjölk Architekti a imaginé un igloo "express"...
Mjölk Architekti, un cabinet d'architectes tchèque, a été l'une des cinq équipes à gagner au concours de design de huttes de réchauffement à Winnipeg en 2012, pour l'Assiniboine Credit Union River Trail. Pour aider les patineurs du plus long sentier naturellement gelé au monde, situé au Canada et inscrit dans le Guinness des records, le groupe a donc imaginé un igloo gonflable qu'il serait facile d'asperger de neige lors des jours les plus froids. Plus il fait froid, plus c'est rapide.
Explications : l'igloo gonflable est recouvert grâce à un jet qui vaporise de l'eau tirée directement du sol. Une pompe d'arrosage est reliée à un compresseur et à un générateur installé sur la glace à côté de l'endroit choisi pour monter l'igloo. Le système perfore le sol pour en tirer l'eau glacée de la rivière. La température extérieure fait le reste du travail, à savoir gèle l'eau déposée sur les parois siliconées en prenant la forme de l'abri. Puis l'igloo suivant est installé.
Comme le dis si bien Fast Compagny, qui relaie le concept, c'est exactement comme un faux bronzage de glace provenant directement des sols de Winnipeg. Vojtech Urban du cabinet tchèque explique: "Nous l'avons testé dans une usine de congélation à 5 degrés et ça a prit six heures pour le construire. Mais imaginez-vous qu'à la fin janvier, il fait pratiquement moins 40 degrés à Winnipeg, ça gèle donc beaucoup plus vite!"

Des igloos comme abris contre le froid...

Des igloos comme abris contre le froid...

Des igloos comme abris contre le froid...

Gentside


Crédit Agricole, BNP et Leclerc répondent à l'appel des Restos du Coeur


Au total elles ont donné 4 millions d'euros à l'association qui en réclamait cinq fin décembre pour faire face à l'augmentation des besoins des plus démunis.
 Le Crédit Agricole offre un million d'euros aux Restos du Coeur.
Crédit Agricole, Leclerc, BNP... les annonces de dons se multiplient en faveur des Restos du Coeur, qui avaient dit fin décembre avoir besoin de cinq millions pour faire face à l'augmentation des besoins des plus démunies, et au profit d'autres associations caritatives.
Un million du Crédit Agricole
Le Crédit Agricole a donné un million d'euros aux Restos du Coeur, pour offrir "un million de repas", a déclaré Jean-Marie Sander, président du Crédit Agricole à l'AFP. Le Crédit Agricole est "l'une des toutes premières entreprises" à avoir été partenaire des Restos du Coeur, "on ne peut rester insensible à l'appel" qu'ils viennent de lancer pour leur 27ème campagne alimentaire, a-t-il ajouté.
Deux millions en nature de Leclerc
De son côté, le groupe de distribution Leclerc a indiqué mardi avoir fait don de 2 millions d'euros en nature aux Restos du Coeur et à d'autres associations caritatives "pour répondre à l'urgence". Il s'agit d'un "don exceptionnel de marchandises" qui s'ajoute à l'aide permanente déjà organisée de longue date par le groupe, a précisé Leclerc. Les produits alimentaires et d'hygiène ainsi offerts iront aux Restos du Coeur, à la Fédération française des banques alimentaires, au Secours populaire, au Secours catholique et à la Croix-Rouge.
Un million de la fondation BNP
BNP Paribas a débloqué un million d'euros via sa fondation pour les Restos du Coeur. Le groupe a souligné dans un communiqué "l'aggravation de la crise économique" et son impact sur les plus démunis, "qui n'ont pas les moyens de s'alimenter de manière équilibrée".
Le 26 décembre, le président des Restos du Coeur Olivier Berthe avait parlé d'un besoin d'au moins cinq millions d'euros supplémentaires en 2011-2012 pour répondre à la croissance de la demande liée à la crise économique."Nous avons servi l'année dernière 110 millions de repas (à 860.000 personnes), nous nous apprêtons à servir cette année 115 millions de repas, c'est pourquoi nous demandons à tous nos amis un effort supplémentaire pour offrir 5 millions de repas supplémentaires", avait dit le dirigeant de l'association fondée en 1985 par Coluche, sachant qu'"un repas coûte environ un euro".
L'ensemble des associations d'aide alimentaire estime entre "5 et 8%" les besoins supplémentaires auxquelles elles devront faire face cette année. Début janvier, le secrétaire d'Etat au Commerce Frédéric Lefebvre a réuni les acteurs de l'aide alimentaire, les neuf enseignes de la grande distribution et les industries agroalimentaires, et annoncé l'organisation d'un "moment de solidarité" (journée, week-end, semaine) permettant de collecter ces produits pour l'ensemble des associations.

L'Expansion.com

Robin, le foudroyé miraculé


Frappé par la foudre, un jeune Marseillais était donné pour mort. Mais aujourd'hui, à la grande surprise des médecins, son état s'améliore.
Description : http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif
Robin a frôlé la mort. Son histoire, révélée par RTL, vaut vraiment le détour. En 2007, alors qu'il faisait du VTT dans la région de Vitrolles avec des camarades du collège Simone-de-Beauvoir, la foudre s'est abattue sur lui. Pétrifié, le jeune Marseillais de 13 ans est tombé dans un profond coma. Donné pour mort, ses parents n'avaient plus aucun espoir. Et les médecins non plus: «Bon, ça ne sert à rien de tourner autour du pot. Robin a le cerveau grillé. Il faut le débrancher», avait annoncé le médecin peu après l'accident à Annick,la mère de Robin.
Et pourtant, Robin est sorti du coma. Un miracle? Peut-être. Ce qui est sûr, c'est que son état de santé s'améliore doucement. Aujourd'hui agé de 17 ans, «il peut désormais se passer de son respirateur artificiel et retrouve progressivement les gestes de la vie quotidienne, comme regarder la télévision», note son frère Maxime. Sa famille, qui n'a jamais renoncé, est convaincue qu'il remarchera un jour.
Comment Robin a-t-il pu recouvrer la santé après pareil accident? Les médecins ne parviennent pas à tout expliquer. «La médecine n'est pas une science exacte», reconnaît le professeur André Liénard, chef du service anesthésie et réanimation de l'hopital Saint-Antoine à Paris.
L'opération de l'espoir
Après avoir lancé un appel à l'aide à Xavier Bertrand, ministre de la Santé, les parents de Robin ont réussi à faire prendre en charge le dossier de leurs fils.
Robin est attendu ce mercredi près de Paris. Il va être placé dans un centre de rééducation des Yvelines, dont la réputation est bien meilleure que son établissement actuel, à Marseille. Plusieurs spécialistes l'ausculteront dans le cadre d'une plateforme médicale. De nombreux examens sont à faire, comme vérifier si des troubles de la vue et de l'ouïe ne se sont pas déclarés.
Après ces examens, il sera conduit à l'hôpital Georges Pompidou pour être opéré . Il sera entre les mains expertes du professeur Laurent Lantieri, qui s'est engagé à reconstruire son visage. Premier objectif: fermer la bouche de Robin, pétrifiée par la foudre. Cette première opération sera probablement suivie d'autres.
Une bouffée d'espoir pour Robin et sa famille
Cette perspective d'une nouvelle vie pour Romain redonne une bouffée d'espoir à sa famille, très présente autour de lui. «Il devait être mort, il est toujours là. Cela veut dire qu'il se bagarre pour vivre», explique la mère de Robin. «Il faut agir pour qu'il récupère et pour que sa vie s'améliore», ajoute-t-elle. Morgane, sa grande soeur insiste: «On ne peut pas se permettre de baisser les bras, surtout qu'il fait des progrès». Bruno, son père, postier de profession, sera muté dans un bureau à Paris pour pouvoir accompagner son fils, dont le séjour parisien risque de se prolonger.
Par Description : http://www.lefigaro.fr/premium/img/pictos/journalistes.gifGabriel Petitpont

LeFigaro.fr


Comment faire pousser les cheveux plus vite ?


Comment faire pousser les cheveux plus vite ?
Faire pousser ses cheveux plus vite, ce serait tellement pratique !… Mais comment faire ? S'il n'existe pas encore de produit miracle menant à une pousse de cheveux spectaculaire, on peut toutefois obtenir de bons résultats grâce à quelques astuces. En effet, une bonne pousse des cheveux commence par le fait d'en prendre soin le mieux possible.
Découvrez tous nos conseils pour stimuler la vitesse de croissance de vos cheveux et vous aider à obtenir une belle et longue chevelure !
Comprendre le fonctionnement des cheveux
Pour faire pousser les cheveux plus vite, il est important de comprendre la vie du cheveu. Il pousse par sa racine, laquelle se développe sous le cuir chevelu dans une minuscule enveloppe appelée le follicule pileux. Il émerge de la racine par la papille, située à la base de la racine et par laquelle le sang arrive et l'alimente. C'est donc "la matière première" que contient le sang qui va permettre au cheveu de grandir. Dans un deuxième temps, le sang passe de la papille à la matrice, où se situent les cellules de reproduction du cheveu, lesquelles sont les plus rapides de l'organisme.
La durée de vie d'un cheveu (son cycle de vie) est génétiquement prédéfini. Pour les hommes, il est en moyenne de 3 ans tandis que pour les femmes, il peut aller jusqu'à 4,5 ans environ.
De quels facteurs dépend la pousse des cheveux ?
La pousse des cheveux dépend de ce que le sang apporte à la racine, donc de notre régime alimentaire. Pour favoriser la pousse des cheveux, on recommande :
  • Les protéines soufrées que l'on trouve dans le poulet, la sole, le thon, le fromage, le jaune d'oeuf, les haricots, les lentilles, ou encore les amandes et les pistaches ;
  • Les oligo-éléments comme le zinc et le magnésium, que l'on trouve dans la banane, le cacao, les huitres, les crevettes, le jaune d'oeuf, le soja, les céréales, le pain complet…
  • Le fer qui se trouve dans les moules, le jaune d'oeuf, les huitres, la farine de soja, les céréales, les amandes et les noisettes…
  • Ainsi que les vitamines A, B et C présents dans la plupart des aliments.
La santé de la racine du cheveu est également à prendre en compte. Son développement ne doit pas être bridé par des impuretés qui s'agglutinent à sa base et qui risquent de l'asphyxier.
La vitesse de croissance du cheveu dépend du "programme génétique" de chaque individu et de son ethnie. Ainsi, pour un type caucasien, le cheveu pousse en moyenne d'1 cm/mois, pour un type africain de 0,8 cm/mois et pour un type asiatique, de 1,5 cm/mois.
La pousse du cheveu dépend également des sécrétions des hormones sexuelles véhiculées par le sang.
Enfin, les changements de saisons influent sur la pousse des cheveux. En été, la pousse est dynamisée par le soleil contrairement à l'hiver et l'automne, où tout ce mécanisme est plus en latence.
Les do et les don't 
Avoir les cheveux souvent attachés n'est pas un frein à une bonne pousse des cheveux dans la mesure où l'attache est lâche. En revanche, si l'attache est trop serrée, les cheveux peuvent casser, voire tomber, par la traction continuelle exercée sur les racines. Attention donc !
A éviter également, le séchoir trop chaud et trop près du cuir chevelu, ou encore les fers à friser ou à lisser qui abîment le cheveu et peuvent faire casser. En ce sens, ils empêchent la chevelure de pousser de façon uniforme.
Il est recommandé d'utiliser des brosses conçues à partir de matières naturelles, telles que les brosses en fibres de sanglier par exemple, afin d'empêcher les cheveux de casser. Les brosses synthétiques sont vivement déconseillées. Hélène Clauderer, Fondatrice du Centre Clauderer et spécialiste du traitement des cheveux, est néanmoins contre l'utilisation de la brosse. Elle affirme qu'il est "aberrant de conseiller aux jeunes filles de se brosser sans arrêt les cheveux alors que les grands coups de brosse les arrachent. De plus, l'électricité statique provoquée par la brosse sensibilise la kératine. Si vous avez des noeuds, il suffit de les enlever délicatement au peigne" explique-t-elle.
Vous pouvez également noter que la laque dessèche, abîme et casse le cheveu. De même, les colorations répétées et autres manipulations chimiques agressent la kératine du cheveu qui va s'affiner et se casser.
Le calcaire est également mauvais pour les cheveux, surtout s'ils sont fragiles. Il vaut donc mieux les laver à l'eau douce.
Il est aussi bon de prendre l'habitude de faire des masques naturels à base de protéine de collagène associée à des huiles végétales pour nourrir et hydrater les cheveux. Attention surtout à ne pas utiliser de masque contenant des produits à base de silicone et autres substances qui sont nocives pour le cheveu.
Stimuler la pousse des cheveux
La pousse des cheveux est liée au système émotif. De ce fait, à partir du moment où l'on a un sommeil normal et régulé ainsi qu'une vie équilibrée, les cheveux le ressentent. En effet, une mauvaise hygiène de vie raccourcit le cycle du cheveu, lequel sera donc forcément moins long.
Il est conseillé de boire beaucoup d'eau et d'avoir une alimentation équilibrée, riche en protéines soufrées, en fer, en vitamines A, B et C ainsi qu'en zinc et en magnésium.
Les produits locaux "activateurs de pousse" assurent une pousse plus rapide, tout en renforçant la vigueur du cheveu. Il existe une dizaine de marques sur le marché.
En plus de ces soins locaux, il peut être intéressant de faire une cure de compléments alimentaires. Une cure en vitamines B, acides aminés et zinc est un bon choix. De même une cure de levure de bière apporte des éléments nutritionnels nécessaires pour donner de la force aux cheveux (magnésium, vitamines de groupe B). Le zinc est aussi très important. Les cures aux huiles essentielles, qui nourrissent en profondeur les cheveux, sont également recommandées à condition qu'elles soient bien dosées. Certaines appréhendent souvent ces cures de peur qu'elles accélèrent en même temps la pousse des poils. Hélène Clauderer nous répond que seuls les acides aminés soufrés peuvent agir de la sorte sur le poil. A contrôler donc !
Masser régulièrement son cuir chevelu stimule la racine et donc le cheveu, ce qui encourage à la pousse des cheveux. En effet, les massages vivifient la circulation du sang vers les racines et assouplissent le collagène des tissus environnant la racine, dégageant ainsi plus d'espace pour sa pleine activité. A éviter néanmoins si la chevelure est trop grasse.
Enfin, il faut se méfier des shampooings "miraculeux" accélérateurs de pousse. En effet, pour activer la pousse d'un cheveu, il faut atteindre sa racine, située à 4 mm sous le cuir chevelu. Or, le shampooing ne pénètre pas sous le cuir chevelu. Par ailleurs, les substances requises (huiles essentielles, vitamines, minéraux) doivent être infiniment plus puissantes et concentrées que celles que l'on retrouve diluées dans les ingrédients lavants d'un shampooing. Elles nécessitent également une technique de massages et un temps de pause plus long, afin de pénétrer dans le derme.
Mythe ou réalité ?
Une légende urbaine affirme que se couper les pointes au premier quartier de lune agirait sur les cheveux. S'il s'agit du premier quart montant, cela stimulerait la vitesse de pousse des cheveux et s'il s'agit du premier quart descendant, cela ferait pousser les cheveux plus épais. Les effets n'ont à ce jour jamais été prouvés alors pour obtenir une réponse, il ne vous reste plus qu'à essayer !
Par Sandra Rosinsky - Mis à jour le 14 octobre 2011

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