Jusqu’aujourd’hui nous observons le même phénomène qui se passe au moment
de l’atterrissage des avions, c’est-à-dire au moment où les roues touchent la
piste, à savoir la trainée de fumée que laissent les pneumatiques par usure de
la gomme au contact de l’asphalte. Ce phénomène est dû essentiellement à la
mise en rotation des roues par le contact de la piste, vu que la vitesse des
roues au moment du contact est nulle alors que la vitesse de l’avion est
d’environ 150M/H (240 km/h). Ce phénomène occasionne plusieurs inconvenants, à
savoir :
(1)—Usure
rapide des pneumatiques.
(2)—provoque
dans certains cas un glissement des pneus sur la jante, et même leur
éclatement.
(3)—Un
contact brutal ressentis par tout le train d’atterrissage mettant
particulièrement les amortisseurs à l’épreuve, et toute la structure de
l’appareil.
(4)—Enfin
l’inconfort ressenti par les passagers du à la secousse.
Technique
proposée pour remédier à ces inconvenants
Les
avions transporteurs ont une vitesse au moment de l’atterrissage d’environ 240
km/h (ceci bien sur dépend de plusieurs facteurs à savoir le poids de l’avion,
la direction du vent etc.) Ce que nous voulons c’est donner une vitesse de
rotation aux roues de l’avion avant le contact avec la piste, égale à la
vitesse de l’avion.
Ex :
Pour un avion qui atterri à 240 km/h ? Ayant un diamètre de roues égales à
0,80 m, nous aurons un nombre de tours par minute des roues, en divisant la
distance parcourue à 240 km/h par la distance parcourue par la roue en un tour
soit : Distance parcourue par l’avion en une minute : 240.000 sur 60
= 4000 mètres
Distance
parcourue par la roue en un tour: 0.80m x 3.14 = 2.50 m
D’où le
nombre de tours équivalent est : 4000 m/2,50 m= 1600 Tr/mn
Donc les
roues de l’avion doivent rentrer en contact avec la piste à une vitesse de 1600
tr/mn.
De cette
façon on évite le contact brutal des pneumatiques, qui sera remplacé par un
roulement normal avec un minimum de résistance. Cela évitera toutes les
inconvenantes cités ci-dessus.
La
réalisation de cette innovation peut se réaliser de deux façons différentes.
(1)—Démarrer
mécaniquement un entrainement de rotation des roues juste avant l’atterrissage
par un moteur électrique. Ce système a l’avantage de contrôler le nombre de
tours exactes qu’on veut donner aux roues.
(2)--
Deuxième moyen, celui-ci à un grand avantage d’être moins couteux au départ,
utilisant une énergie gratuite. Il s’agit de placer une
turbine montée sur chaque jante utilisant le vent crée par la
vitesse de l’avion (240 km/h). La turbine sera une multi-pale, conçue pour
atteindre rapidement la vitesse désirée. Elle sera placée de sorte à entrainer
les roues dans le sens de l’avance de l’avion.
M.Hermassi
©M.Hermassi
ISBN :
978-9973-02-023-9
Toute
utilisation à des fins personnelles, même partielle sans autorisation est
interdite.
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Le roman CD
Le roman
CD est une nouvelle façon de découvrir
le contenu d’un livre sans le lire, mais on l’écoutant. Quand on lit
soi-même un livre, on a besoin d’être
concentré, les yeux bien ouverts, ce qui
n’est pas de tout repos surtout pour les yeux. Avec le roman CD on vous fait la
lecture, vous fermez les yeux vous vous relaxez, vous mettez vos écouteurs, le
reste viendra tout seul. Soit que c’est l’auteur lui-même qui vous raconte son
histoire, ou un liseur professionnel. Pendant ce temps vos yeux se reposent, et
vous voyagez avec l’histoire, surtout si c’est l’auteur lui-même qui vous
compte son histoire. Que vous soyez au bord de la plage allongé sur une chaise
longue, ou bien calé dans un fauteuil devant une cheminée ouverte ou crépite un feu de bois un soir d’hiver,
lumière tamisée, vous ne vous sentirez pas seul, vous êtes en compagnie du
narrateur qui vous raconte l’histoire que vous avez choisi. Un CD est moins
encombrant qu’un livre, il vous coute beaucoup moins cher, et se range facilement.
Pour
choisir votre roman vous vous referez aux indications sur la pochette, le
titre, le résumé de l’histoire, la photo de l’auteur, et bien sur le prix,
exactement comme pour un livre. Avec la nouvelle méthode vous avez une présence
qui vous accompagne tout le long de l’histoire, et ou que vous soyez. Vous avez
moins d’effort à fournir, donc moins de fatigue, vous n’êtes pas découragé de
continuer comme en lisant un livre. Vous gardez le même confort d’arrêter et de
reprendre le fil de l’histoire quand
vous voulez. Il n’y a pas de gros investissements à faire, vous achetez une
fois pour toute un lecteur de CD, ensuite les CD, qui ne couteront qu’un tiers
voir un quart du prix d’un livre. Encore un avantage, vous aurez la possibilité
d’une écoute familiale, ou en groupe, ce qui encourage les veillées familiales
comme au temps de nos grands-parents.
Voyant
maintenant le coté prix de revient, en comparaison du livre. La conception d’un livre demande un travail
plus élaboré pour l’éditeur. D’abord la mise en page, la conception de la
Jacquette, la préparation de
l’imprimante, et finalement le papier, tout ça demande une main d’œuvre
couteuse. Le prix de vente d’un livre moyen d’environ 200 pages est de l’ordre
de 15 Euros minimum. Un CD vierge coute quelques centimes, la gravure et le
copiage en série n’est pas couteux d’autant plus qu’il ne demande pas beaucoup de main d’œuvre. Un CD a
une capacité de 700 mg, ce qui équivaut à un livre de plus de 1000 pages.
Finalement le prix de vente d’un CD ne dépassera pas la barre de 6 ou 7 Euros.
L’éditeur comme l’auteur y trouveront
leur compte.
M.Hermassi
©
M.Hermassi 2011
Tous
droits réservés pour tous pays.
ISBN.978-9973-02-579-1
Adresse de contact : phenix2.djo@gmail.com
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Un
moyen pour déodoriser, ou neutraliser les odeurs de nos déjections.
De tous les
temps l’homme n’a cessé de se préoccuper de son bien être, pour mieux vivre.
Soigné son image n’est plus un luxe, mais une nécessité pour briller et réussir
dans la société qu’est la nôtre. En ce début de siècle cette préoccupation
développe un gigantesque marché, et est devenu un vecteur incontournable dans
le développement économique mondial. Je
cite : les produits cosmétique, les articles vestimentaires, les produits amincissants,
les opérations esthétiques, les bijoux etc….C’est une industrie juteuse à
l’échelle planétaire. Oui me diriez-vous, mais ou est le problème ? Pourtant il y a un petit
grain de sable qui continu de poser problème Dans cette course à la perfection,
C’est en nous même ! Notre physique
comme on le sait est une usine qui tourne en continue pour nous assurer notre
bien-être, et notre bonne santé. Comme toute usine, nous transformons des
produits pour en faire d’autres, et fatalement il y a un rejet de déchets qu’on
trouve en fin de parcours. Ces déchets comme leur nom l’indique sont des restes indésirables, et n’ont pas une
bonne odeur. Ils nous dérangent ! On ne peut pas ne pas les produire, et continue
de nuire à notre image, surtout quand on
est en société. Je veux parler des mauvaises odeurs et des déchets que nous
expulsons. On a inventé des tas de déodorants pour chaque mauvaise odeur, il
suffit de regarder les étalages dans les rayons parfumeries des
supermarchés, des magasins de parfumeries, et même dans les
drogueries. On en consomme tellement
qu’on a troué la couche d’ozone. Malgré tout il reste une odeur auquel nous
n’avons pas trouvé de solution, et qui nous empoissonne la vie. Vous avez
deviné de quoi je parle, il s’agit de nos déchets personnels, des gaz que nous
expulsons, surtout en compagnie d’autres personnes. Dans les toilettes aussi. Ne sommes- nous pas incommodés en respirant
ces odeurs désagréables, ainsi que pour les personnes qui rentrent
après-nous ? Maintenant que nous
connaissons le problème, je vous pose la question : a-t-on trouvé un
remède à ce problème ? Moi je n’en
connais pas, du moins jusqu’à ce que
j’ai trouvé le remède !! C’est simple mais il fallait y penser !! Dorénavant
on peut laisser échapper ses gaz, éliminer ses déchets sans s’asphyxier par sa
propre merde. Avec le traitement que j’ai imaginé, nos gaz et nos déchets
seront parfumés, ou complétement inodores.
Une large gamme de parfum au choix : au citron à la cannelle, aux
clous de girofle et même à la vanille. Ce n’est pas un canular, lisez d’abord
ce qui va suivre. Je vous parle en connaissance de cause, puisque j’en ai fait
l’expérience. Nous pouvons changer les odeurs désagréables que nous
dégageons.
M.Hermassi
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Comment cela se passe-t-il en réalité ?
Après
la mastication, la nourriture arrive dans l’estomac, ou elle est pétrie,
malaxée avec les sucs gastriques, qui ont pour mission de la dégrader, elle
devient une bouillie appelée CHYME GASTRIQUE. Ce milieu est acide, son PH est
de 2. Cette bouillie est libérée par petite quantité dans l’intestin grêle, qui
fera un long voyage à travers les
intestins. Première étape, c’est dans
l’intestin grêle que se passe
l’essentiel de la digestion. Les parois de l’intestin puisent l’énergie, et les
nutriments dont le corps a besoin pour fonctionner. Le reste de la bouillie
poursuit son chemin vers le gros intestin.( Le
PH dans l’intestin grêle est PH6), celui-ci aspire les dernières trace
liquides contenues dans la bouillie, le restant sera solidifier et entreposé
dans le rectum. La matière solide(les selles) arrive enfin à destination de
l’Anus.
Voici
quelques pHs :
pH de l'estomac = 2
pH de l'intestin grêle = 6
pH du gros intestin = 8
Le pH de notre sang se situe entre 7.32 et 7.42.
pH de l'estomac = 2
pH de l'intestin grêle = 6
pH du gros intestin = 8
Le pH de notre sang se situe entre 7.32 et 7.42.
La partie qui nous intéresse, est
celle ou se forme la matière fécale. Notre but est de déodoriser, voir
neutraliser les odeurs de cette matière
avant son évacuation.
Nous connaissons tous les déodorants corporels,
est autres, seulement tous ces déodorants sont destinés à usages externes. Dans
notre cas c’est le même principe sauf que nous devons agir de l’intérieur,
opération plus délicate car nous devons tenir compte de certaines réactions
allergiques est des effets secondaires sur les parois du colon. Donc le choix
de la matière à utiliser doit être judicieux pour éviter toute complication du
point de vue santé. Vous avez compris que de tout le trajet des aliments depuis
la bouche jusqu’à l’évacuation, seul nous intéresse le dernier tronçon du gros
intestin, l’avant-poste à la déjection.
En cet endroit le travail de tout le
circuit est terminé, et ce qui reste est destiné à l’évacuation. C’est là que
nous devons agir, pour neutraliser la mauvaise odeur du aux bactéries, et préserver
l’équilibre de la flore intestinale.
A quoi consiste le traitement ?
Tout d’abord choisir l’agent actif qui
sera capable d’agir pour neutraliser la mauvaise odeur. Le mieux est de
chercher parmi nos plantes qui possèdent une forte concentration de parfum, tel
que les clous de girofle (Eugénol), citronnelle, eucalyptus, cannelle, etc.
toutes ces plantes possèdent des huiles essentielles, et des essences, qu’on
peut les avoir très concentrées, pour diminuer le volume. Ceci rentre dans le
cadre d’un traitement odorant. Deuxième choix neutraliser entièrement l’odeur,
le rendre inodore. Une fois l’agent est choisi (personnellement j’ai fait
l’essai avec un concentré de clous de girofle, le résultat était satisfaisant.
A mon avis c’est vers un agent neutralisant qu’il faut se tourner.
Technique de l’opération
Le traitement doit être simple hygiénique, et
à la portée de tous. Donc le plus simple sera d’avaler une pilule contenant
l’agent actif, avant ou pendant le repas, cette pilule doit traverser tout le système
digestif sans libérer son produit, une fois la pilule est dans le colon, alors
seulement l’agent actif rentre en action.
Je préconise une pilule, ou une gélule
qui contient un enrobage gastro-résistant, ainsi elle ne libèrera son contenu
que dans un milieu de PH supérieur à 7, ce qui est le cas dans le colon. Ces
produits existent sur le marché, voilà quelques exemples.
Nom
commercial
|
Application
|
||||
HPMCP
(HP)
|
|||||
Nom
Commercial
|
pH de
dissolution
|
Viscosité
(mPa.s) |
% de
Phtalyle
|
Application
|
|
HP-55
|
≥ 5,5
|
40
|
31
|
Classique
|
|
HP-55S
|
170
|
Plus
grande solidité
|
|||
HP-50
|
≥ 5,0
|
55
|
24
|
Soluble à
plus bas pH
|
|
Conclusion nous pouvons dire que la
technique est claire, sans ambiguïté. Naturellement en ce qui concerne les
produits neutralisants, en plus de ce qui est déjà connu c.à.d. les huiles
essentielles et les essences naturelles, la possibilité dans la recherche reste
ouverte pour trouver des produits plus efficaces et plus performants, toujours
bien sûr en respectant le milieu où ils seront actifs.
Reste à trouver les moyens pour produire en
quantité suffisante ces produits pour répondre au besoin de la demande, avis
aux investisseurs.
Pour tous renseignements prenez contact avec
l’adresse suivante :
Phenix2.djo@gmail.com
M.Hermassi
© M.Hermassi 2011
Tous droits réservés pour tous pays.
ISBN.978-9973-02-579-1
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