Pauvre
con !!Certains dictateurs n’ont pas
encore compris qu’ils sont le jouet des pays occidentaux, et des grandes puissances. Ils les utilisent pour d’abord tuer leurs
compatriotes, ensuite ils les livrent au lynchage. Il arrivera à Bachar al Assad
exactement ce qui est arrivé à Kadhafi.
Une fois qu il a joué son rôle, il n’aura plus de soutien, surtout des
Russes, et des chinois. Le pays continuera de s’autodétruire, pendant que les
fouteurs de merde regardent, quand il ne reste que des invalides, et des cul de jatte,
ils réapparaitront pour le balayage, et la soit disant reconstruction du pays,
mais qui profite de tout ça ? Regardez la Lybie, les Libyens croient que l’intervention occidentale est un
élan de solidarité pour les débarrasser d’un dictateur, en réalité ils ont mis
le rouleau compresseur en marche qui leur préparera le terrain. Vous verrez bientôt
des délégations occidentales se presser aux portes de La Lybie pour avoir des contrats par ici par là. Ce qui
fait mal au cœur, est que ces pays naïfs n’ont jamais su tirer les conclusions
qu’il faut.
M.Hermassi
VIDÉO -
Au moins 47 civils ont été tués dans les bombardements, selon l'opposition.
Devant la poursuite de la répression, la France a rappelé son ambassadeur.
• Au
moins 47 morts dans la nuit de mardi à mercredi
Alors que les violences ont fait 121 morts depuis lundi dans
le pays, au moins 47 civils ont encore été tués durant la nuit dans les
bombardements menés par l'armée syrienne dans la ville de Homs, l'un des
principaux foyers de contestation contre le régime du président Bachar
el-Assad, ont rapporté mercredi des militants et des sources proches de
l'opposition, cités par l'agence Reuters.
«L'électricité
est revenue brièvement et nous avons été en mesure de contacter plusieurs
quartiers, les activistes ayant réussi à recharger leur batterie de téléphone.
Nous avons recensé 47 personnes tuées depuis minuit», a indiqué Mohammad Hassan
un militant d'opposition, joint par téléphone satellitaire. Trois familles
entières figurent parmi les victimes, tuées dans la nuit par des miliciens du
régime, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
Le Conseil
national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition, a exhorté la
communauté internationale à «agir vite» pour «empêcher un nouveau massacre» à
Homs, où un pilonnage avait fait plus de 230 morts samedi selon les militants.
La répression des manifestations a fait plus de 6000 morts depuis 11 mois,
selon des ONG.
• La France
rappelle son ambassadeur
La France a
rappelé mardi pour consultations son ambassadeur en Syrie, une décision qui
fait suite à une mesure similaire prise par plusieurs pays européens. «Face à
l'aggravation de la répression menée par le régime de Damas contre sa
population, les autorités françaises ont décidé le rappel en consultations de
l'ambassadeur de France en Syrie», a déclaré le ministère des Affaires
étrangères. L'Italie, l'Espagne et les Pays-Bas ont fait de même mardi.
Les
monarchies arabes du Golfe ont quant à elles annoncé avoir décidé d'expulser
les ambassadeurs syriens dans leurs pays et de retirer les leurs en poste à
Damas, dénonçant «le massacre collectif» commis par le régime.
• Bachar
el-Assad promet la fin des violences
Bachar
el-Assad s'est entretenu mardi avec le chef de la diplomatie russe, Sergueï
Lavrov, dont le pays a opposé samedi, avec la Chine, son veto à
une résolution de l'ONU condamnant la répression en Syrie.
«Nous avons eu une rencontre très utile. Le président syrien nous a notamment
assuré qu'il s'était entièrement engagé à faire cesser les violences d'où
qu'elles viennent», a -t-il déclaré à l'issue de la rencontre.
«Nous avons
confirmé notre bonne volonté de contribuer à une sortie de crise sur la base de
l'initiative proposée par la Ligue arabe», a déclaré Lavrov. «La Syrie informe
la Ligue arabe qu'elle a intérêt à ce que la mission de la Ligue continue son
travail et soit élargie», a -t-il aussi dit. La Ligue arabe a suspendu la semaine
dernière sa mission d'observation en Syrie en dénonçant une recrudescence des
violences. Une réunion au niveau ministériel est prévue le 11 février pour
examiner les suites éventuelles de cette mission, qui était destinée à
surveiller l'application d'un plan de sortie de crise prévoyant en premier lieu
la fin des violences.
Les
États-Unis ont fait part de leur scepticisme envers ces promesses faites à la
Russie et réitéré son appel à Damas à mettre immédiatement fin à la violence.
Le sénateur républicain John McCain a de son côté appelé à «envisager toutes
les options, y compris celle consistant à armer l'opposition» syrienne. Mais,
l'ambassadrice américaine à l'ONU, Susan Rice a rejeté cette alternative. «Nous
sommes résolument partisans de ne pas alimenter ce qui a le potentiel de se
transformer en une véritable guerre civile. Notre but est de résoudre cela par
des moyens pacifiques», a-t-elle dit sur CNN.
• Le projet
de constitution serait prêt
Par
ailleurs, Assad va bientôt annoncer la date du référendum sur une nouvelle
Constitution, selon Lavrov. «Le travail est terminé, et désormais le calendrier
pour le référendum sur ce document très important pour la Syrie doit être
annoncé», a-t-il dit. Assad avait annoncé le 10 janvier pour le début du mois
de mars l'organisation d'un référendum sur une nouvelle Constitution syrienne.
La commission chargée d'élaborer le texte a prévu de limiter le mandat
présidentiel à deux septennats, a écrit fin janvier le quotidien al-Watan,
sans pour autant préciser si cette réforme s'appliquera à Assad dont le second
mandat s'achève en 2014.
• La Turquie
lancera une initiative internationale
Le premier
ministre turc Recep Tayyip Erdogan a
annoncé mardi que la Turquie lancerait une «nouvelle initiative» internationale
pour la Syrie, sans préciser qu'elle serait cette démarche. Soulignant au
Parlement que son gouvernement «usait de toutes les voies diplomatiques pour attirer
l'attention de la communauté internationale» sur la crise syrienne, il a
condamné fermement le double veto russe et chinois et affirmé que ce blocage
«est un permis de tuer aux mains du tyran» syrien, en référence au président
Bachar el-Assad.
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