Résolument
moderne et pratique, le nouveau site www.mieux-vivre-ma-pr.coms’adresse
à tous ceux qui souffrent de polyarthrite rhumatoïde ou d’arthrite juvénile.
Sur un ton complice et pédagogique, les internautes peuvent à tout moment,
trouver réponses à leurs nombreuses questions.
Pour Sonia
Chirol, directrice de l’ANDAR (Association Nationale de Défense contre
l’Arthrite Rhumatoïde), ce site répond à un besoin réel : « L’ANDAR
reçoit chaque jour des appels de malades qui ont besoin de conseils pour mieux
vivre avec la polyarthrite. Nous avons donc voulu mettre à leur disposition une
source d’information large, pratique et mobilisable à toute heure comme seul
Internet peut en proposer. »
Au total, le
site propose 19 thématiques, sous forme de dossiers complétés de contacts
utiles, de conseils et de témoignages de malades. A l’image d’Anne-Sophie, 40
ans, atteinte de polyarthrite rhumatoïde. « Comme je lâche les choses
20 fois par jour, nos amis savent qu’ils dineront dans des assiettes et des
verres en plastique ! »
Il y a là
une mine d’informations et de conseils pratiques pour améliorer le quotidien.
Des astuces pour organiser la maison, redonner envie de sortir, de voyager, de
faire du sport, pour connaître ses droits de malade... Sur le plan pratique par
exemple, on y retrouve même des « ruses » pour mettre ses chaussures
facilement, grâce à un long chausse-pied.
Des réponses
à plus de 60 questions, les plus fréquemment posées par les malades, sont
recensées dans une rubrique spécifique. Une sorte de « Foire aux Questions »
(FAQ) : « Puis-je profiter d’un stationnement spécial près de chez
moi du fait de ma polyarthrite ? » ; « Boire plusieurs
verres au cours d’une soirée ou d’un dîner, est-ce que cela peut être mauvais
pour moi ? » ; « En tant que femme, mes rapports sexuels
sont souvent douloureux et difficiles. Que puis-je faire ? ».
Et
naturellement, le site s’adresse également aux proches des patients. Ils y
trouveront des conseils utiles, notamment dans la partie « Mon conjoint,
sa PR et moi ». Enfin toute une partie est consacrée aux malades atteints
d’arthrite juvénile. « En préparant ce projet, nous avons impliqué des
jeunes malades pour mieux saisir leurs besoins, leurs peurs, leurs
préoccupations », précise Sonia Chirol. « Il n’était pas
question de faire un site où ils ne trouvent pas, eux aussi, des
réponses ! »
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